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LE PANAFRICANISME NOUVEAU
22 mars 2013

LE SOS DES PETITES BONNES MALGACHES

Elles sont nombreuses à partir travailler comme employées de maison en Arabie saoudite ou au Koweït. Mais elles y sont victimes de maltraitance.
Violées, agressées, humiliées… les sévices subis par les Malgaches employées de maison en Arabie saoudite ou au Koweït sont nombreux. En 2013, elles seront plus de 6000 à être envoyées par leur gouvernement vers ces deux Etats: combien reviendront sur la Grande Ile, marquées à vie par une expérience proche de l'esclavage moderne?

Le site du Monde publie une série de portraits de femmes malgaches rentrées au pays après avoir été maltraitées par leurs employeurs étrangers. On y découvre le visage et l'histoire de Mevatiana Raharimanana, partie au Koweït comme femme de ménage et victime d’une tentative d’étranglement par la femme qui l’employait. Soa a, elle, été violée par son employeur en Arabie saoudite.

Sur la Grande Ile, le Syndicat des professionnels diplômés en travail social (SPDTS) «gère au cas par cas la situation de ces jeunes femmes parties travailler dans les pays du Golfe et qui veulent revenir à Madagascar» et espèrent pouvoir assigner en justice les agences de placement, explique Le Monde.

Car ce ne sont pas seulement les employeurs qui sont mis en cause, mais aussi les organismes responsables du recrutement et du placement des jeunes femmes. Jimmy Razafimahatratra en sait quelque chose. Il ne peut pas rapatrier sa femme, violée par son employeur au Koweït, car «l’agence de placement lui réclame 2.000 euros».

«La décapitation de Rizana Nafeek, le 9 janvier 2013, symbolise l’environnement dangereux dans lequel évoluent les quelque 1,5 million de travailleurs domestiques étrangers en Arabie saoudite», rappelait le magazine Alternatives Internationales dans un article sur les domestiques philippines en Arabie saoudite.

 

[SOCIÉTÉ]

LE SOS DES PETITES BONNES MALGACHES

Elles sont nombreuses à partir travailler comme employées de maison en Arabie saoudite ou au Koweït. Mais elles y sont victimes de maltraitance.
Violées, agressées, humiliées… les sévices subis par les Malgaches employées de maison en Arabie saoudite ou au Koweït sont nombreux. En 2013, elles seront plus de 6000 à être envoyées par leur gouvernement vers ces deux Etats: combien reviendront sur la Grande Ile, marquées à vie par une expérience proche de l'esclavage moderne?

Le site du Monde publie une série de portraits de femmes malgaches rentrées au pays après avoir été maltraitées par leurs employeurs étrangers. On y découvre le visage et l'histoire de Mevatiana Raharimanana, partie au Koweït comme femme de ménage et victime d’une tentative d’étranglement par la femme qui l’employait. Soa a, elle, été violée par son employeur en Arabie saoudite.

Sur la Grande Ile, le Syndicat des professionnels diplômés en travail social (SPDTS) «gère au cas par cas la situation de ces jeunes femmes parties travailler dans les pays du Golfe et qui veulent revenir à Madagascar» et espèrent pouvoir assigner en justice les agences de placement, explique Le Monde.

Car ce ne sont pas seulement les employeurs qui sont mis en cause, mais aussi les organismes responsables du recrutement et du placement des jeunes femmes. Jimmy Razafimahatratra en sait quelque chose. Il ne peut pas rapatrier sa femme, violée par son employeur au Koweït, car «l’agence de placement lui réclame 2.000 euros».

«La décapitation de Rizana Nafeek, le 9 janvier 2013, symbolise l’environnement dangereux dans lequel évoluent les quelque 1,5 million de travailleurs domestiques étrangers en Arabie saoudite», rappelait le magazine Alternatives Internationales dans un article sur les domestiques philippines en Arabie saoudite.

Source : Slateafrique

Source : Slateafrique

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LE PANAFRICANISME NOUVEAU
  • Le Panafricanisme est une idée politique et un mouvement qui promeuvent et encouragent la pratique de la solidarité entre les africains où qu'ils soient dans le monde. Le panafricanisme est à la fois une vision sociale, culturelle et politique d'émancipati
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